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Communiqué de presse
23 mars 2017
Des chercheurs de l’Inra et leurs partenaires ont étudié chez l’animal les conséquences de la présence simultanée dans l’intestin d’un certain groupe de bactéries du microbiote et d’un contaminant alimentaire courant, le déoxynivalénol (DON). Ils montrent que la présence de cette mycotoxine renforce le caractère génotoxique des bactéries, c’est-à-dire augmente le nombre des cassures sur les brins d’ADN des cellules intestinales, phénomène pouvant conduire à l’apparition de cellules cancéreuses.
15 fév 2017
Les introductions d'espèces exotiques dans les écosystèmes du monde entier n'ont cessé d'augmenter au cours des 200 dernières années. Ce phénomène s'est même nettement accéléré au cours des 30 dernières années, et aucun phénomène de saturation n’est perceptible. Ces résultats sont le fruit d'une vaste collaboration internationale, à laquelle a participé l'Inra, qui a recensé 44 000 dates de première observation pour 16 000 espèces exotiques introduites sur un continent différent de celui d’origine.
13 fév 2017
Des chercheurs de l’Inra et de l'Inserm ont découvert un nouveau type d’enzymes bactériennes capables de produire des peptides à activité antibiotique jusqu'alors jamais identifiés. Publiés dans Nature Chemistry, ces travaux sont prometteurs pour la synthèse de molécules d’intérêt pharmaceutique et la conception de nouveaux antibiotiques.
07 fév 2017
L’une des conséquences pathologiques les plus graves de l’obésité morbide reste le développement d’un diabète de type 2. Ce dernier est lui-même la conséquence d’une perte de la sensibilité à l’insuline des tissus.En couplant des solutions innovantes de chirurgie par coelioscopie, de micro-électronique et d’imagerie de pointe, des chercheurs ont développé chez un modèle animal une alternative à la chirurgie bariatrique, pratique lourde et irréversible, visant à rétablir la sensibilité à l’insuline.
23 jan 2017
Les souches de prions présentent des virulences différentes selon la population de cellules qu'elles infectent. Des chercheurs de l’Inra viennent de faire un pas décisif pour expliquer ces variations de virulence. Ils ont observé que certaines souches étaient favorisées par rapport à d'autres en fonction du taux de protéine PrP, qui constitue le substrat du prion, dans les cellules cérébrales de souris.
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